"Tu veux, tu veux pas, tu re-veux, tu veux plus
Je m'avance, tu recules
Sans jamais rien expliquer
Je comprends pas
Et j'ai beau y être habituée maintenant, voire m'y attendre comme ce soir
Ca blesse, quand même
Voilà, c'est dit"
D'habitude, je dis rien. J'encaisse et je ferme ma gueule. Mais pas ce soir.
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4 commentaires:
J'ai une question qui me turlupine :
L'homme du jeudi, l'as-tu déjà rencontré au moins une fois ? Il me semblait que oui mais maintenant j ai un doute ! Dans mes souvenirs c'est un ancien petit ami que tu as retrouvé ?
Je reconnais tres bien mon ancienne situation avec mon francais dans tes ecrits. A force de toujours tout annuler, de garder ses distances, j'ai pris l'habitude et j'ai perdu interet. C'est a ce moment-la bien-sur qu'il a commence a me courir apres, mais c'etait bien trop tard et maintenant c'est moi qui annule nos rendez-vous. C'est mon ex que j'aime mais je l'ai perdu.
Savoir dire parfois ses souffrances en outrepassant la peur de perdre l'autre...
Tu avances, petit scarabée, tu avances :)
a@t : meilleur ami de mes années de lycée. On s'est revus 5 ou 6 fois depuis un an.
@lademoiselletéméraire : s'il me sent dépendante, il arrêtera tout. Je connais les règles du jeu. Soit je les accepte, soit j'y mets un terme. J'ai décidé de les accepter, en espérant qu'elles changent. C'est mon choix, je l'assume. Mais ça n'empêche que parfois c'est dur.
@faits divers : à manier avec précaution, quand même ...
Sa réponse : "Eh oh commencons pas ce genre de trucs hein..."
La mienne : "ouais, bon, d'accord, ok, très bien ...
... mais je m'auto-octroie le droit de râler en cas d'intense frustration"
Re la sienne : "si ca devient trop compliqué, on prend une réelle distance."
Ouhlàlà, faut désamorcer, vite : "Rhooo ... tout de suite les grands mots
J'étais toute seule, chaude comme la braise ... bref, frustrée.
Faut pas chercher plus loin
Toute seule, c'est bien
A deux, c'est mieux :-)"
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