Enfouir le visage dans l'oreiller, pour masquer les larmes qui montent.
Garder les yeux fermés, pour ne pas qu'il y lise le dégoût que je ressens.
Lutter pour ne pas recracher sa langue qui envahit ma bouche.
La majorité du temps, j'arrive à ne pas y penser.
Hier soir, non.
samedi 18 juillet 2009
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14 commentaires:
je compatis
j'ai connu...
ouf
Encore un an et demi à tenir
(ou plus qu'un, selon les jours)
Pfiou ma poulette, je ne sais pas quoi te dire si ce n'est "barre tooooiii!!"... mais ça, tu le sais déjà.
Je te serre fort...
Oui, là, c'est pas acceptable.
Mais "ne pas accepter", c'est un million de fois plus facile à dire qu'à faire.
Parfois, les mots de réconfort semblent illusoires... Mais tu avances malgré tout... Pensées douces
@Mademoiz'ailes : et je ne pense qu'à ça ... merci ma belle ...
@502 : ou quand la ligne qu'on s'est fixée devient difficile à suivre ...
@LuJ : mais ils sont présents. Et tellement importants. Merci d'être là ...
Je prends l'histoire en route, on dirait, et je ne comprends pas grand chose... je vais lire plus en amont. A première vue, faut que tu te barres toute affaire cessante, mais ce n'est peut-être pas si facile !
@chou : d'abord bienvenue ici :)
et oui, c'est une longue histoire. Mais j'ai mis les choses en place pour que ça change.
Ca prend juste du temps, et c'est parfois difficile.
et avec un peu de nutelas dessus c'est comme ça qu'on fait passer les pillules amères.
je t'embrasse sans nutelas , tendrement
courage ma belle
courage
regarde d'autres y sont arrivées toi tu sais que cela va venir , tiens le coups
Je t'adore ... :-)
Pire qu'une tradégie, sans en avoir jamais le dénouement j'espère ! Quelques mots qui font mal, même à ceux qui les lisent en passant.
Mais ça fait du bien de les poser, ces mots.
Merci à toi
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